Trois femmes/sorcières s’installent sur scène comme elles vivraient en forêt. De pierres et de bois elles forment leur nouveau foyer, dans leur chaudron mijotent les pulsations de leurs désirs, un zeste de leurs colères et de leurs peurs. Leur souhait : se créer un présent bien ancré et respectueux de leur mère/terre.
Elles apprennent à écouter le chant des arbres et la danse vient insuffler du sauvage au rythme des pulsations des coeurs. Des mains jaillissent sorts, souhaits, rêves et d’impossibles tracés.
Chacune se fraye alors un passage pour dialoguer avec l’invisible, l’esprit des éléments, terre, bois, air, et mélanger leurs corps à la magie.