Dans le cadre du Festival Théâtre au Féminin
Et si on commençait par la fin ? Qu’est-ce qui se passe quand la machine s’est arrêtée ? Le cœur, la respiration, la pensée. Imaginons qu’on regarde ça d’ailleurs, comme un témoin invisible, dénué de toutes sensations. Pas de cris, pas de larmes, mais un œil nouveau et parfois amusé sur la fin de la vie. Et si on se disait que regarder tout ça en face nous permettait de mieux vivre ?
Une table en inox, un drap or, une enseigne affichant le mot FIN au-dessus de sa tête, c’est dans cet espace clinique qu’une défunte toute fraiche virevolte. On ne dit pas j’ai crevé propose une expérience pour apprivoiser la mort, accepter de vivre avec, sans pathos, avec joie et résilience.